Dans le silence de la nuit
Glissent les pas du rêveur
Comme ceux d’un acteur
Dans le théâtre d’un temps éphémère.
Danse étrange, battement de cils,
Ombres portées intérieures
Musique des éléments
Stores instrumentistes.
Les possibles se devinent
Se mettent en forme, s’étirent et vire voltent.
Nocturnes artistes, étoiles moirées, clowns tristes,
Se télescopent dans l’humour et l’intime de la chambre
Sous les paupières closes.
©Véronique Bonnet
Un moment heureux et lumineux dans la nuit, quand l’obscurité se fait beauté, qui devient le prétexte à des rapprochements quelque peu mystérieux, qui n’existent que dans les possibles de l’imaginaire !
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Heureux hasard sème l’imaginaire ou alors ils étaient là à attendre leur tour de piste … les petits personnages
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J’aime bien cette comparaison du rêve et du théâtre : c’est vrai que, dans le rêve, on se joue aussi des tragi-comédies 🙂
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ah oui! l’imaginaire est sans limite …
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Magnifique.
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