
Au front pensif se pose
Le ciel limpide du petit matin.
La pollution a déserté.
Dans mars 2020,
Un rêve surréaliste incarné :
Le bleu provençal en île de France.
La clarté et la légèreté des oiseaux,
Dont le chant envahit
l’espace désert de la rue.
Torrents de pensées dénotent
En notes sont vite changées.
Bordure du vieux jardin
Ne résistera pas
A la poussée des graines
Au soleil de printemps,
Aux tournesols à flanc de parcelle,
Aux vivaces prêtes à s’élancer
A la famille, aux amis réunis.
Les chats gardent la clepsydre.
Calme étrange derrière les volets
La vie qui sait patienter.
©Véronique Bonnet
En mode confinés ! Merci les gars, merci Nuria !
Ça faisait longtemps que je n’avais rien lu ici ! Je ne sais pourquoi ? En tout cas, je reprends le fil des blogs, et heureuse de lire ces lignes et de découvrir ces artistes. Belle journée à toi, Sabrina.
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Bonjour Sabrina, bienvenue ici et heureuse d’avoir ce retour; je te souhaite une belle journée
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c’est beau, calme, doux, tranquille, paisible, mon âme s’en va se reposer soudainement avec le chant d’un moineau revenu ou d’une mésange qui n’a plus peur de nous, de rien, car tout s’est tu.
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Oui, le retour des animaux est étrange et délicieux… merci de votre passage
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Profite du calme, du neuf et puis le temps fera les choses… 😉 C’est beau
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Merci Cath, c’est vrai, le temps a une plasticité nouvelle … Je te souhaite une belle journée
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