

Nous en faisons l’expérience. Nos représentations sont difficiles à assouplir. La volonté ne suffit pas, sinon, ça se saurait… Le manque de choix devient dépression. La tête est bloquée dans la vision scotomisée d’un non choix, le corps dans une position intenable d’absent.
Notre tête veut rationaliser, planifier. Ça finit par figer un corps qui voudrait vivre, ressentir. L’émerveillement, le regard toujours renouvelé sur les choses, est un moyen pour rester en vie, pour tisser les liens corps- esprit-cœur.
La société de consommation, de la rationalisation, se coupe du vivant et elle est insensible à la nature ( le corps est déjà loin, alors la nature…). Ça, nous le savons.
Où en sommes nous, là, dans nos vies, sur le curseur entre hypertechnicité au service de notre exigence toujours plus forte, du contrôle toujours plus pressant, et… l’émerveillement encore, comme porte de l’être, de la présence, des besoins profonds, de la réinitialisation, du changement, du lien…?
Une fois que j’ai dis ça, que faire?
Aller à la journée d’étude de l’ AF d’HTSMA, à Nantes, avec l’équipe de Mimethys, sur le thème : TRANSHUMANISME, QUELLE PLACE POUR L’HUMAIN?
renseignements sur le site de l’association :
©Véronique Bonnet
Certains mots, là de ce texte (mais est-il personnel…?) me parlent notamment certaines Dimensions portées et contenues dans/par certains d’entre eux…
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Bien sûr… et merci de soutenir
J’espère qu’ils portent, surtout vers le cœur
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Bon jour,
Il faudrait trouver un lien durable, tenable et harmonieux entre un transhumanisme raisonnable et l’humain dans sa nature …
Max-Louis
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Bonjour Iotop, merci de mettre cette intention, pour ne pas dire ce voeu au milieu. Tous ces mots sonnent ensemble avec beaucoup de force… Nécessiteraient-ils un tour de force? C’est probable, alors ce serait celui qui consiste à aller au fond de l’humain, pas de sa force…
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Merci Iotop de l’avis et passage
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